L’assurance-vie

L’assurance vie est l’un des placements privilégiés des épargnants. Son attrait en tant qu’outil de prévention et de protection est incontestable.

Les contrats d’assurance vie sont dotés d’un régime juridique qui leur est propre et d’une fiscalité avantageuse.

Mais, au-delà de ces spécificités, ils offrent surtout aux particuliers de multiples possibilités leur permettant de répondre au mieux à leurs choix patrimoniaux, voire d’optimiser pleinement la gestion de leur patrimoine.

 

Un véritable marché

L’assurance vie constitue un marché avec des produits aussi différents que variés. Tous les canaux de distribution de produits financiers proposent aujourd’hui ce type de produits, que ce soient les réseaux d’assurances, les guichets d’établissements financiers, les entreprises de la grande distribution, les portails financiers ou d’assurances.

Face à la multiplication des offres disponibles sur le marché, choisir un contrat devient un véritable « casse-tête » et requiert une réflexion approfondie du souscripteur en fonction de ses objectifs.

En réalité, derrière ce terme générique et la diversité des combinaisons possibles, se cachent deux grandes familles de contrats qui recouvrent des objectifs différenciés : une volonté d’épargne et un besoin de prévoyance. Dans les deux cas, il s’agit de se prémunir contre les risques liés à la durée de la vie humaine. Pour répondre corrélativement à ces deux impératifs de capitalisation et de prévoyance, des formules d’assurance mixte ont été créées.

 

Un outil au service de choix patrimoniaux

Constitution d’une épargne à long terme

La volonté de mettre de l’argent de côté afin d’en tirer des revenus transforme la souscription d’un contrat en une véritable opération de capitalisation. L’assurance vie est désormais reconnue comme un placement permettant la détention d’actifs financiers dans le cadre d’une enveloppe fiscale avantageuse.

Garantie d’un capital en cas de décès

Cette finalité se traduit par la mise en œuvre d’une opération de prévoyance destinée à anticiper les conséquences financières du décès. La couverture du risque décès est l’objectif clairement exprimé. Les contrats d’assurance-décès ne constituent donc pas une opération de placement puisqu’ils sont souscrits dans l’optique de garantir le versement d’un capital déterminé et permettent de protéger un proche en cas de décès de l’assuré.